De 1918 à 1920, la compagne de Lelléna a perçu sur cette dernière des parfums tantôt de roses, tantôt de violettes, dans des conditions qui ne permettaient jamais, au grand jamais l’ombre d’une supercherie.
Souvent ces parfums exquis, tels, qu’ils différaient totalement de ceux de la terre, faisaient suite à d’atroces souffrances physiques ou morales chez la chère victime, ou encore se présentaient à l’époque de certains jours de pénitence, par exemple : au temps de l’Avent et du Carême.
Parfois ils provenaient de la visite mystérieuse de la jeune fille juive convertie, qui, par le fait du don de « bilocation », passait quelques courts instants auprès de Lelléna. Ces parfums d’une nature très différente et particulière arrivaient par effluves, ou persistaient sur les objets même lavés : vêtements, linges. Ils émanaient du corps de Lelléna., souvent après la Sainte Communion.
Ces mystérieux parfums ont été sentis par la compagne de Lelléna, plus de trente fois de 1912 à 1920.
La compagne de Lelléna a su par cette dernière que son « sachet miraculeux », lui est apparu sortant de sa plaie, plus de 12 fois de 1911 à 1916. Toutes les fois qu’il se présentait, elles en ont senti l’exquis parfum.
(Si l’Autorité ecclésiastique, désirait de plus amples détails sur cette question, elle pourrait consulter le « cahier journalier » de la personne chargée de relever ces faits : Madame L.D., compagne de Lelléna, depuis 1910)